L’inhibition chimique de NAT10 corrige les défauts des cellules laminopathiques
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La lamina nucléaire maintient l’architecture du noyau Chez les eucaryotes, la membrane interne du noyau est bordée d’un maillage de protéines fibrillaires appelé lamina nucléaire, composé des protéines dénommées lamines, incluant les lamines A et C [1]. La lamina nucléaire est un élément crucial du maintien de l’architecture et de la forme du noyau, ainsi que de l’organisation globale de la chromatine, car elle sert de plateforme d’ancrage pour l’hétérochromatine et pour les régions télomériques [2, 3]. La lamina fait aussi le lien entre le noyau et le cytosquelette car elle interagit avec des protéines transmembranaires telles que SUN1 (Sad1 and UNC84 domain containing 1) ou les protéines nesprines [4]. Ces propriétés de la lamina expliquent son rôle essentiel dans l’organisation structurelle de la cellule. De ce fait, les mutations des gènes codant pour les lamines sont associées à un large éventail de maladies, regroupées sous le nom de laminopathies [5], dont fait partie le syndrome de vieillissement prématuré Hutchinson-Gilford progeria syndrome (HGPS).
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1958-5381
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Cancer Research Uk (None)